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L'attraction magnétique résultante est l'arlésienne des concepteurs de machines électriques. Sur une machine idéale, elle ne devrait pas exister, et sur une machine réelle, on ne sait pas trop comment la calculer!

Calculer les contraintes dans une structure est aujourd'hui à la portée de tout mécanicien. Mais c'est bien loin d'être suffisant pour dimensionner une structure mécanique : il faut déterminer si ces contraintes sont acceptables ou non en fonction des caractéristiques du matériau, de son évolution dans le temps, de son environnement, etc.
La directive FKM propose depuis 30 ans une démarche méthodique de dimensionnement pour les pièces métalliques, qui lui vaut d'être aujourd'hui reconnue dans le monde entier pour justifier les dimensionnements dans l'industrie mécanique.

Les faisceaux de conducteurs sont au coeur de la plupart des machines électriques. Pourtant, le comportement mécanique de ces assemblage hétérogènes est très mal connu. Comment les prendre en compte dans le dimensionnement d'un rotor bobiné par exemple?

L'association d'une cage d'écureuil et d'un empilement de tôles électriques dans les rotors asynchrones rend leur comportement mécanique particulièrement complexe vis-à-vis des efforts centrifuges et de la température.

Cet article s'intéresse au comportement dynamique de deux applications industrielles : actionneur rotatif à aimant et frein à manque de courant, qui comportent tous deux un circuit fer massif et un temps de réaction très bref. Le couplage mécanique-magnétique-électrique en fait la complexité.

La norme DIN6892 permet un calcul simple d'une liaison clavetée standard. Si on veut aller un peu plus loin, ou si on est confronté à une liaison clavetée spécifique, le problème se corse!

Le dimensionnement mécanique d'un rotor tournant à grande vitesse est déterminé essentiellement par l'effort centrifuge. Comment le prendre compte? Quelles sont les spécificités du dimensionnement d'un assemblage de tôles électriques minces?